Une belle chronique du livre de JF Vernay dans la Revue "L'oiseau bleu"
https://revueloiseaubleu.fr/wp-content/uploads/2022/08/recension-Forteresses-insulaires-1.pdf?fbclid=IwAR06NVUXnDJCwZZiuIuF7jnFKbbz5w0A6i8SOruJfm3JWulCB-A3VQfu9u8
une critique de "Filière de femmes" d'Anna Jouy par Evlyne Léraut!
Une critique sur Médiapart de "Brise dans le miroir" de François Thiery-Mourelet
La fondation Jan Michalski soutient les éditions sans escale
J'ai l'immense plaisir de vous annoncer que la Fondation Jan Michalski vient d'attribuer une bourse permettant la publication des 10 prochains livres de la collection Poésies et Philosophie des Les éditions sans escale
Cet important soutien financier est la reconnaissance du travail accompli par des bénévoles passionnés.
Merci encore à la Fondation Jan Michalski pour son soutien à la création contemporaine.
Le dernier article de Valéry Molet dans la Revue Le littéraire où il est question de Plougrescant, de Bela Tarr, de François Mourelet et d'amour!
Une très belle critique de "Forteresses insulaires" de JF Vernay!
Un article de Jean-Claude Bologne sur le recueil "Brise dans le miroir" de François Thiery-Mourelet
On pense irrésistiblement à Dante, devant ce long poème divisé en quatre-vingt-neuf laisses de trente-trois vers, avec la régularité de la Divine comédie. L’homme moderne, s’il a voyagé les yeux ouverts, a vu bien pire que l’enfer du Florentin. Il a vu les violences, les saccages, la cruauté gratuite des enfants qui portent la mort dans le regard, les vieillards diminués jusqu’à la non-existence, le pillage des sites archéologiques… Devant l’agonie du monde et l’indifférence des hommes, il a connu la honte d’être humain. Et le bateau de sa vie — car le poème prend la forme d’un long voyage — a surtout connu les bourrasques et les naufrages. La métaphore classique se fond ici à l’expérience que l’on prête à ceux qui s’apprêtent à la quitter — « comme un mourant revoit sa vie » — et permet, d’escale en escale, des remémorations qui peuvent remonter jusqu’à l’enfance. Le voyageur retrouve alors ses visages perdus.